La Granvillaise et le Charles-Marie se refont une beauté avant la saison !

Qu’il est précieux le calme de l’hiver. Le feu crépite dans le poêle, le paysage est engourdi et les bateaux désarmés. Qu’il est utile pour s’assurer d’être toujours sur le bon cap. De mon côté, un projet enthousiasmant est venu bousculer mes objectifs de l’année et j’ai donc mis les bouchées triples pour valider dès janvier mon

On peut aimer un bateau. Je l’ignorais. La Granvillaise est désarmée et j’ai le coeur serré. Silhouette gracile et profil levretté de cheval de course : elle m’a tapé dans l’oeil au premier regard, depuis le ponton où elle était amarrée. Sitôt débarquée, le besoin farouche de retrouver le pont s’est fait ressentir. Je me suis donnée à elle,